Bibliothèque Universitaire – Escaliers et passerelles en métal déployé – Paris-Diderot

Lieu

Paris

Architecte

Rudy Riccioti

Produit

Maille AFR-FILS/21 en acier galvanisé à chaud

Date

2006

Catégorie

CAILLEBOTIS & ESCALIERS

À propos de ce projet

L’architecte Rudy Riciotti a apporté des nouvelles fonctionnalités et de la modernité aux bâtiments existants en choisissant de mettre en oeuvre des escaliers et des passerelles en métal étiré.

En employant la maille AFR-FILS/21, on peut emprunter les passerelles et les escaliers en absolue sécurité. En effet, la maille AFR-FILS/21 offre une très grande capacité à empêcher le glissement, même en présence d’humidité.

Le métal étiré, d’une manière générale, se prête parfaitement bien pour traiter des chemins de passage, en intérieur comme en extérieur. Au-delà de sa capacité à éviter les chutes, son vide permet d’évacuer l’eau, la neige, les fumées en cas d’incendie.

A la Bibliothèque Universitaire Paris-Diderot, où la circulation des personnes est intense, le choix de traiter les chemins de passage par des éléments en métal étiré maille AFR-FILS/21 s’avère des plus judicieux par rapport à la fonctionnalité et la sécurité. Tous les éléments constituant les passerelles, les escaliers et les plateformes sont en acier galvanisé à chaud.

En savoir plus sur la Bibliothèque Universitaire Paris-Diderot Paris 7 :

La Bibliothèque des Grands Moulins occupe 8000 m² sur 5 niveaux et propose 1400 places, 9 salles de travail en groupe, 2 salles de formation, et 100 postes informatiques.

Elle abrite des collections en lettres, sciences humaines et sociales, sciences et techniques. Soit 250 000 documents en libre accès pour la plupart, dont 414 revues papier, 3150 DVD, des cartes géologiques et géographiques, et les thèses soutenues à l’Université Paris Diderot.

Adresse : Quai Panhard et Levasseur Paris 13e

« Déjà, quand on les a construits en 1920, les Grands Moulins de Paris n’avaient pas l’air d’une usine. Ils avaient été masqués par une façade néoclassique surmontée de toits à la Mansart. Manière de «se faire pardonner d’être un lieu de travail à Paris», comme l’explique l’architecte Rudy Ricciotti ? Peut-être. Ce déguisement a en tout cas donné à ce gros «monstre de béton» un caractère suffisamment marqué pour que près d’un siècle plus tard, l’architecte ait eu envie de le garder. Transformés en site universitaire par Ricciotti, les Grands Moulins de Paris (dans le XIIIe arrondissement) conservent leur drôle de silhouette, leur béton et leur nom écrit sur le mur. «J’ai eu envie de sauver ce Quasimodo», résume Ricciotti. » Libération par Anne-Marie Fèvre.